Grande star de l'évènement, ce nouvel opus de Mario se dévoile un peu plus avec un trailer, un extrait, des screens et des artworks. Yoshi se verra doté d'aptitudes spéciale dès qu'il ramassera certains fruits (il se gonflera pour pouvoir flotter quelques instants et pourra courir très vite pour passer des plates-formes verticales). Les niveaux qui étaient jouables après la conférence, et que nous devrions retrouvez dans la version finale, étaient les suivants :
- Sky Station Galaxy
- Spin-Dig Galaxy
- Hightail Falls Galaxy
- Tall Trunk Galaxy
- Upside Dizzy Galaxy
- Bowser Jr's Fiery Flotilla
- Supermassive Galaxy
- Bowser Jr.'s Fearsome Fleet
- Flip-Swap Galaxy
Le plombier moustachu et son dinosaure vert débarqueront le 23 mai en Amérique du Nord et le 11 juin en Europe. Allez faites chauffés les mirettes avec ce qui suit !^^
Toutes les vidéos et images sont à retrouvées ici et là !
samedi 27 février 2010
vendredi 26 février 2010
MAJ/NEWS 25 - TLC 9 et 10 + Rajout de liens
Les 2 derniers DVD/Blu-ray des OAV de The Lost Canvas sont sortis mercredi au Japon et depuis ce matin ils tournent sur le net. J'ai uploader les RAW sur MegaUpload (pas eu besoin de se lever trop tôt, heureusement le téléchargement Torrent était assez rapide :P) et je peux donc vous les proposer en attendant les sous-titres !
- OAV 9 ==> http://www.megaupload.com/?d=MSRMOADH
- OAV 10 ==> http://www.megaupload.com/?d=UU0GBR1X
L'ensemble de ma fournée de screens, qui a été mise à jour today, est à retrouvé ici !
Les RAW et VOSTFR (de la Tsubasa-Fansub) des précédents épisodes sont à retrouver ici sans mot de passe. Ça me gave d'uploader en 2 fois et d'envoyer des mails juste pour faire passer des MDP donc tout est en libre accès maintenant, mais vos commentaires sont quand mêmes les bienvenus !
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Les RAW et VOSTFR (de la Tsubasa-Fansub) des précédents épisodes sont à retrouver ici sans mot de passe. Ça me gave d'uploader en 2 fois et d'envoyer des mails juste pour faire passer des MDP donc tout est en libre accès maintenant, mais vos commentaires sont quand mêmes les bienvenus !
Libellés :
Le blog
[Fanfic Saint Seiya] La Trahison du Loup d'Asgard - Chapire 17
Fanfic écrite par Fenril.
Fenril passa la large porte et se retrouva face à l’ensemble des douze maisons du zodiaque du sanctuaire d’Athéna.
Bien qu’il ne soit jamais venu en ces lieux, il connaissait les légendes et les exploits qui s’y étaient accomplis et l’idée de devoir traverser ces douze demeures dans le sens de la descente ne le réjouissait guère.
Mais après tout que risquait-il ? Au pire il allait rencontrer les représentants de chaque maison mais ils ne lui bloqueront en aucun cas le passage car le grand pope lui-même l’avait laissé partir.
C’est avec cette idée un peu plus confiante qu’il commença à descendre de bon cœur le long édifice de l’antiquité grecque.
La pas posé sur la première marche lui paru le plus difficile, une fois lancé le courage fera le reste.
Pendant son chemin, il pensa à ses compagnons pirates et surtout il se demandait bien où il pouvait être.
Le grand pope avait affirmé qu’il été sain et sauf et que l’on s’occupé d’eux mais cela n’allait jamais faire revenir à la vie ceux mort pendant les combats.
Il savait que c’est le destin d’un guerrier et que celui-ci doit être préparé à mourir à n’importe quel moment aux combats mais il ne put pas s’empêcher de penser aux familles qui avaient perdus un membre.
Fenril voulait faire un geste de remerciement envers ses compagnons de fortune et voulait qu’il puisse rentrer sans encombre et sans être mêler une nouvelle fois à une guerre qui n’était pas la leurs.
En attendant de trouer une solution, il lui fallait continuer de descendre les marches et peu être allait il trouver de quoi l’aider dans sa quête.
La traversée s’effectue sans grand péril, jusqu’à la maison des Poissons. Fenril sentit un cosmos à l’intérieur et pensait fortement qu’il devait être celui du chevalier d’or gardant celle-ci.
Il pénétra alors et découvrit un parcours de roses rouges et blanches devant lui.
Sur le sol était écrit en pétales de roses un message à destination du jeune loup.
« Suis ce chemin, il te guidera jusqu'à la sortie »
Ne connaissant pas trop les intentions des chevaliers d’ors envers lui et étant dans des lieux qui lui étaient inconnus, Fenril suivit les recommandations florales et traversa la maison en empruntant scrupuleusement le chemin balisé.
Il se retrouva alors de l’autre côté de la maison des Poissons en confrontation directe avec ce qui devait être son chevalier d’or.
Le chevalier était fidèle à sa réputation, l’homme le plus beau du monde tenant une rose rouge vénéneuse à la bouche.
« Nous avons été tenu au courant de ton arrivée au sanctuaire et nous savons quel sont tes intentions dans cette future guerre sainte ! Je respecte ton point de vue.
Nous, chevaliers d’or, nous sommes passés par des moments difficiles récemment, nous connaissons la terrible souffrance des combats.
Tu n’échapperas pas à celle-ci que tu le veuilles ou non, tu es destiné par les dieux, tu as été choisi, tu es l’élu.
Prend cette rose rouge, elle est éternelle et non vénéneuse, donne la à la personne de ton cœur comme un cadeau d’adieu. »
Le chevalier d’or donna la rose à Fenril, recouvrit son armure du soleil par sa cape blanche de pureté et retourna assurer la protection de la maison dont il avait la charge. Le bruit de l’armure des Poissons remuant sous le pas de son guerrier laissa petit à petit place au silence seulement troubler par le bruit du vent.
Fenril continua son périple au sein du sanctuaire, lui qui se croyait simplement appeler au royaume d’Asgard pour un simple rassemblement se retrouve désormais au cœur d’une guerre dont il est la pièce maitresse et que tout le monde souhaite l’avoir à ses côtés. Son seul but à lui est de vivre tranquille auprès de celle qu’il aime, jamais il n’aurait pensé qu’il devrait se battre jusqu’à la mort pour protéger une femme en laquelle il n’a aucun sentiment mais ne serait ce qu’amicale.
La traversée de la maison du Verseau ce fut le plus simplement, sans aucune hostilité.
Camus, le chevalier d’or de la constellation du Verseau fit simplement un signe de la tête à Fenril pour le saluer et d’un geste de la main de laquelle sortit une fine neige de Sibérie, lui indiquant le chemin à suivre.
Shura, le chevalier d’or du Capricorne eu la même réaction que son collègue du Verseau et fendit l’air de sa fidèle Excalibur au passage de Fenril pour lui indiquer la voie.
La maison du Sagittaire, elle était vide, son gardien semblait ne pas être présent sur les lieux.
Durant sa traversée, Fenril remarqua le testament d’Aioros qui avait été gravé sur un mur pour les chevaliers de bronze durant leur conquête du sanctuaire.
Il réalisa alors qu’il était en train de parcourir un chemin où beaucoup de sang et de bataille résonnaient entre les murs de chaque maison.
Des lieux chargés d’histoire.
Il retrouva dans la prochaine maison, celle du Scorpion, les chevaliers d’or du Sagittaire, de la Balance et son hôte en train de s’entrainer au combat.
Ils n’eurent même pas un regard envers Fenril qui les regarda portant pendant plusieurs minutes.
Il comprit que chacun se préparer à sa manière pour ce qu’il allait arrivé et qu’il essayé de ne pas changer leur habitude quotidienne pour ne pas éveiller de soupçons ou de crainte au sain du sanctuaire.
La descente se poursuivit donc jusqu’à la maison de la Vierge, son protecteur lui devait être encore dans la salle du grand pope pour discuter à propos des faits et gestes de Fenril.
Le guerrier divin s’engagea une nouvelle fois dans la traversée d’une demeure, la maison de la vierge n’avait rien de différent des autres.
Elles étaient toutes faites de la même manière, des longues et hautes colonnes grecques jusqu’au plafond et des voiles et tapisseries représentant la déesse Athéna et la constellation dont ils avaient chacun la charge.
La maison traversée, Fenril commença à se demander combien de temps encore il allait mettre pour traverser ses maisons.
Il n’avait pas de temps à perdre et semblait impatient de rentrer chez lui.
Il senti alors une main se poser sur son épaule et une voix lui dire :
« Je vais arranger ça jeune guerrier, tu ne seras pas en retard chez toi. »
Cette voix ne lui était pas inconnue, il l’avait déjà entendu récemment.
En se retournant, il eu à sa grande surprise le chevalier d’or de la Vierge devant lui.
« Comment as-tu fais pour dissimuler ton cosmos ? Je ne t’ai pas sentit dans la maison et encore moins arriver derrière moi !
Comment as tu réussis à lire dans mes pensées ? »
Aucune réponse ne sortit de la bouche du représentant divin de la Vierge et il posa sa deuxième main sur l’autre épaule de Fenril.
Les deux hommes se retrouvèrent alors éblouie un flash de lumière qui dura même pas un quart de seconde.
Un ouvrant les yeux, Fenril s’aperçu qu’il été arrivé tout en bas du sanctuaire et que derrière lui se trouvait la maison du Bélier avec Mu, son gardien, posté fièrement à l’entrée.
Fenril voulu se retourner pour demander à Shaka comment il lui était possible de faire une chose pareil mais il avait de nouveau disparu.
Il était repartit aussi vite qu’il été arrivé sans aucun bruit, sans aucune secousse.
Fenril entendit alors une voie au fond de son esprit lui dire :
« Ne sous estime pas la force des chevaliers d’or d’Athéna »
Ce message était comme un avertissement que le chevalier donné au jeune loup pour le mettre en garde de la puissance des combats qui allaient bientôt résonné dans tout le sanctuaire.
Fenril marcha sur en direction des villages situés en bas des collines du sanctuaire afin de receuillir des informations sur ces anciens compagnons marins.
Il interpella une femme qui passait avec ses deux enfants recouverts de boue.
« Excusez moi madame, n’avez-vous pas entendu où pourrai être des pirates, des hommes venus du Nord et blessés pour certains ?
- Croyais vous que je n’ai que ca à faire de ma mêler des affaires des autres comme ça moi ?
J’ai déjà bien à faire avec ma vie de famille à gérer et ses deux monstres qui ne pensent qua se battre et à devenir des chevaliers d’Athéna »
Bien qu’il fût surpris devant une telle réaction, Fenril ne put s’empêcher d’avoir un petit sourire devant une telle scène.
Ici la vie n’était pas comparable, elle n’avait pas son pareil ailleurs.
Les gens étaient en adoration devant les chevaliers qui s’entraient, ils leur vouaient un culte sans fin, ils portaient en eux tout les espoirs de la terre.
Tous s’affairaient à ce que les représentants des dieux ne manquent de rien sans perturber leurs méditations et leurs exercices.
Les femmes avaient apportés de la nourriture, de l’eau ainsi que des serviettes pour pouvoir se laver, les hommes construisaient des outils, des parcours d’exercices ainsi que toutes sortes d’éléments en bois qui allaient pouvoir être utilisé par ces hommes puissants.
Il arrivait qu’un homme passe des jours et des nuits complètes à concevoir un outil qui allait être inutilisé par les chevaliers ou même cassé en moins de deux minutes car trop fragile devant la puissance du cosmos mais rien ne pouvait les attristé ou les rend malheureux, ils avaient foie en eux.
Fenril reconnu alors un des membres de l’équipage du bateau sur lequel il avait navigué qui été en train de se délecté du spectacle.
« Eh bien ! Que fais tu ici toi ?
- Oh mon capitaine c’est vous ! Nous vous avons cherché toute la journée ! Je suis heureux de vous revoir ! Dite moi ! Vous savez où on est la ? Je ne me sens pas très bien parmi tout ces gens la moi ! On dirait que l’on ne fait pas partit du même monde !
- Je te confirme que l’on fait partit du même monde mais on en a une autre vision qu’eux ! Allez conduits moi jusqu’à mes hommes ! »
L’homme s’exécuta et emmena sur le champ Fenril dans la maison médicale du village.
Fenril passa le seuil de la porte et ce fut un énorme élan de joie de tous les pirates qui émana.
Tous étaient heureux de retrouver leur capitaine et surtout voyait en lui un espoir de retourner chez eux.
Fenril alla directement auprès du doyen des pirates et lui demanda :
« Avez-vous correctement été pris en charge par les gens d’ici ? Tout le monde a-t-il été soigné ?
- Oh que oui mon capitaine, nous avons même essayé de soigner quelque une de leurs femmes en remerciement mais elles ont des comportements plus farouche que celles de part chez nous ca c’est sur ! »
Les deux hommes éclatèrent ensemble de rire et le vieillard ne put s’empêcher de mettre une claque sur les fesses d’une infirmière qui passait par là.
La réaction de celle-ci fut immédiate et envoya une lourde claque au vieux qui en perdit une dent.
Ce sont alors l’ensemble de tous les membres de l’équipage témoins de la scène qui éclatèrent de rire et se moquèrent de leur doyen qui avait apparemment bien des difficultés à se familiariser avec les coutumes grecques.
Fenril passa la large porte et se retrouva face à l’ensemble des douze maisons du zodiaque du sanctuaire d’Athéna.
Bien qu’il ne soit jamais venu en ces lieux, il connaissait les légendes et les exploits qui s’y étaient accomplis et l’idée de devoir traverser ces douze demeures dans le sens de la descente ne le réjouissait guère.
Mais après tout que risquait-il ? Au pire il allait rencontrer les représentants de chaque maison mais ils ne lui bloqueront en aucun cas le passage car le grand pope lui-même l’avait laissé partir.
C’est avec cette idée un peu plus confiante qu’il commença à descendre de bon cœur le long édifice de l’antiquité grecque.
La pas posé sur la première marche lui paru le plus difficile, une fois lancé le courage fera le reste.
Pendant son chemin, il pensa à ses compagnons pirates et surtout il se demandait bien où il pouvait être.
Le grand pope avait affirmé qu’il été sain et sauf et que l’on s’occupé d’eux mais cela n’allait jamais faire revenir à la vie ceux mort pendant les combats.
Il savait que c’est le destin d’un guerrier et que celui-ci doit être préparé à mourir à n’importe quel moment aux combats mais il ne put pas s’empêcher de penser aux familles qui avaient perdus un membre.
Fenril voulait faire un geste de remerciement envers ses compagnons de fortune et voulait qu’il puisse rentrer sans encombre et sans être mêler une nouvelle fois à une guerre qui n’était pas la leurs.
En attendant de trouer une solution, il lui fallait continuer de descendre les marches et peu être allait il trouver de quoi l’aider dans sa quête.
La traversée s’effectue sans grand péril, jusqu’à la maison des Poissons. Fenril sentit un cosmos à l’intérieur et pensait fortement qu’il devait être celui du chevalier d’or gardant celle-ci.
Il pénétra alors et découvrit un parcours de roses rouges et blanches devant lui.
Sur le sol était écrit en pétales de roses un message à destination du jeune loup.
« Suis ce chemin, il te guidera jusqu'à la sortie »
Ne connaissant pas trop les intentions des chevaliers d’ors envers lui et étant dans des lieux qui lui étaient inconnus, Fenril suivit les recommandations florales et traversa la maison en empruntant scrupuleusement le chemin balisé.
Il se retrouva alors de l’autre côté de la maison des Poissons en confrontation directe avec ce qui devait être son chevalier d’or.
Le chevalier était fidèle à sa réputation, l’homme le plus beau du monde tenant une rose rouge vénéneuse à la bouche.
« Nous avons été tenu au courant de ton arrivée au sanctuaire et nous savons quel sont tes intentions dans cette future guerre sainte ! Je respecte ton point de vue.
Nous, chevaliers d’or, nous sommes passés par des moments difficiles récemment, nous connaissons la terrible souffrance des combats.
Tu n’échapperas pas à celle-ci que tu le veuilles ou non, tu es destiné par les dieux, tu as été choisi, tu es l’élu.
Prend cette rose rouge, elle est éternelle et non vénéneuse, donne la à la personne de ton cœur comme un cadeau d’adieu. »
Le chevalier d’or donna la rose à Fenril, recouvrit son armure du soleil par sa cape blanche de pureté et retourna assurer la protection de la maison dont il avait la charge. Le bruit de l’armure des Poissons remuant sous le pas de son guerrier laissa petit à petit place au silence seulement troubler par le bruit du vent.
Fenril continua son périple au sein du sanctuaire, lui qui se croyait simplement appeler au royaume d’Asgard pour un simple rassemblement se retrouve désormais au cœur d’une guerre dont il est la pièce maitresse et que tout le monde souhaite l’avoir à ses côtés. Son seul but à lui est de vivre tranquille auprès de celle qu’il aime, jamais il n’aurait pensé qu’il devrait se battre jusqu’à la mort pour protéger une femme en laquelle il n’a aucun sentiment mais ne serait ce qu’amicale.
La traversée de la maison du Verseau ce fut le plus simplement, sans aucune hostilité.
Camus, le chevalier d’or de la constellation du Verseau fit simplement un signe de la tête à Fenril pour le saluer et d’un geste de la main de laquelle sortit une fine neige de Sibérie, lui indiquant le chemin à suivre.
Shura, le chevalier d’or du Capricorne eu la même réaction que son collègue du Verseau et fendit l’air de sa fidèle Excalibur au passage de Fenril pour lui indiquer la voie.
La maison du Sagittaire, elle était vide, son gardien semblait ne pas être présent sur les lieux.
Durant sa traversée, Fenril remarqua le testament d’Aioros qui avait été gravé sur un mur pour les chevaliers de bronze durant leur conquête du sanctuaire.
Il réalisa alors qu’il était en train de parcourir un chemin où beaucoup de sang et de bataille résonnaient entre les murs de chaque maison.
Des lieux chargés d’histoire.
Il retrouva dans la prochaine maison, celle du Scorpion, les chevaliers d’or du Sagittaire, de la Balance et son hôte en train de s’entrainer au combat.
Ils n’eurent même pas un regard envers Fenril qui les regarda portant pendant plusieurs minutes.
Il comprit que chacun se préparer à sa manière pour ce qu’il allait arrivé et qu’il essayé de ne pas changer leur habitude quotidienne pour ne pas éveiller de soupçons ou de crainte au sain du sanctuaire.
La descente se poursuivit donc jusqu’à la maison de la Vierge, son protecteur lui devait être encore dans la salle du grand pope pour discuter à propos des faits et gestes de Fenril.
Le guerrier divin s’engagea une nouvelle fois dans la traversée d’une demeure, la maison de la vierge n’avait rien de différent des autres.
Elles étaient toutes faites de la même manière, des longues et hautes colonnes grecques jusqu’au plafond et des voiles et tapisseries représentant la déesse Athéna et la constellation dont ils avaient chacun la charge.
La maison traversée, Fenril commença à se demander combien de temps encore il allait mettre pour traverser ses maisons.
Il n’avait pas de temps à perdre et semblait impatient de rentrer chez lui.
Il senti alors une main se poser sur son épaule et une voix lui dire :
« Je vais arranger ça jeune guerrier, tu ne seras pas en retard chez toi. »
Cette voix ne lui était pas inconnue, il l’avait déjà entendu récemment.
En se retournant, il eu à sa grande surprise le chevalier d’or de la Vierge devant lui.
« Comment as-tu fais pour dissimuler ton cosmos ? Je ne t’ai pas sentit dans la maison et encore moins arriver derrière moi !
Comment as tu réussis à lire dans mes pensées ? »
Aucune réponse ne sortit de la bouche du représentant divin de la Vierge et il posa sa deuxième main sur l’autre épaule de Fenril.
Les deux hommes se retrouvèrent alors éblouie un flash de lumière qui dura même pas un quart de seconde.
Un ouvrant les yeux, Fenril s’aperçu qu’il été arrivé tout en bas du sanctuaire et que derrière lui se trouvait la maison du Bélier avec Mu, son gardien, posté fièrement à l’entrée.
Fenril voulu se retourner pour demander à Shaka comment il lui était possible de faire une chose pareil mais il avait de nouveau disparu.
Il était repartit aussi vite qu’il été arrivé sans aucun bruit, sans aucune secousse.
Fenril entendit alors une voie au fond de son esprit lui dire :
« Ne sous estime pas la force des chevaliers d’or d’Athéna »
Ce message était comme un avertissement que le chevalier donné au jeune loup pour le mettre en garde de la puissance des combats qui allaient bientôt résonné dans tout le sanctuaire.
Fenril marcha sur en direction des villages situés en bas des collines du sanctuaire afin de receuillir des informations sur ces anciens compagnons marins.
Il interpella une femme qui passait avec ses deux enfants recouverts de boue.
« Excusez moi madame, n’avez-vous pas entendu où pourrai être des pirates, des hommes venus du Nord et blessés pour certains ?
- Croyais vous que je n’ai que ca à faire de ma mêler des affaires des autres comme ça moi ?
J’ai déjà bien à faire avec ma vie de famille à gérer et ses deux monstres qui ne pensent qua se battre et à devenir des chevaliers d’Athéna »
Bien qu’il fût surpris devant une telle réaction, Fenril ne put s’empêcher d’avoir un petit sourire devant une telle scène.
Ici la vie n’était pas comparable, elle n’avait pas son pareil ailleurs.
Les gens étaient en adoration devant les chevaliers qui s’entraient, ils leur vouaient un culte sans fin, ils portaient en eux tout les espoirs de la terre.
Tous s’affairaient à ce que les représentants des dieux ne manquent de rien sans perturber leurs méditations et leurs exercices.
Les femmes avaient apportés de la nourriture, de l’eau ainsi que des serviettes pour pouvoir se laver, les hommes construisaient des outils, des parcours d’exercices ainsi que toutes sortes d’éléments en bois qui allaient pouvoir être utilisé par ces hommes puissants.
Il arrivait qu’un homme passe des jours et des nuits complètes à concevoir un outil qui allait être inutilisé par les chevaliers ou même cassé en moins de deux minutes car trop fragile devant la puissance du cosmos mais rien ne pouvait les attristé ou les rend malheureux, ils avaient foie en eux.
Fenril reconnu alors un des membres de l’équipage du bateau sur lequel il avait navigué qui été en train de se délecté du spectacle.
« Eh bien ! Que fais tu ici toi ?
- Oh mon capitaine c’est vous ! Nous vous avons cherché toute la journée ! Je suis heureux de vous revoir ! Dite moi ! Vous savez où on est la ? Je ne me sens pas très bien parmi tout ces gens la moi ! On dirait que l’on ne fait pas partit du même monde !
- Je te confirme que l’on fait partit du même monde mais on en a une autre vision qu’eux ! Allez conduits moi jusqu’à mes hommes ! »
L’homme s’exécuta et emmena sur le champ Fenril dans la maison médicale du village.
Fenril passa le seuil de la porte et ce fut un énorme élan de joie de tous les pirates qui émana.
Tous étaient heureux de retrouver leur capitaine et surtout voyait en lui un espoir de retourner chez eux.
Fenril alla directement auprès du doyen des pirates et lui demanda :
« Avez-vous correctement été pris en charge par les gens d’ici ? Tout le monde a-t-il été soigné ?
- Oh que oui mon capitaine, nous avons même essayé de soigner quelque une de leurs femmes en remerciement mais elles ont des comportements plus farouche que celles de part chez nous ca c’est sur ! »
Les deux hommes éclatèrent ensemble de rire et le vieillard ne put s’empêcher de mettre une claque sur les fesses d’une infirmière qui passait par là.
La réaction de celle-ci fut immédiate et envoya une lourde claque au vieux qui en perdit une dent.
Ce sont alors l’ensemble de tous les membres de l’équipage témoins de la scène qui éclatèrent de rire et se moquèrent de leur doyen qui avait apparemment bien des difficultés à se familiariser avec les coutumes grecques.
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Saint Seiya - Fanfics
[Fanfic Saint Seiya] La Trahison du Loup d'Asgard - Chapire 16
Fanfic écrite par Fenril.
Le jeune représentant du mythique canidé se retrouva dans une grande salle emplie de colonnes au style Greco romains sur les cotés et un long tapis rouge sur le quel débouche un trône.
Fenril, seul dans cette pièce avancée de façon logique et prudente en direction du trône qui se trouvait devant lui.
Derrière ce trône, un grand rideau de soie fit comprendre au jeune homme dans quel lieu il se trouvait.
Le rideau était signé de l’emblème de la déesse Nike et du bouclier de la justice.
Le trône était doré à l’or fin et incrusté de pierre plus précieuse les une que les autres et orné du sceptre de la déesse grecque.
Après avoir observé tout les drapées de la pièce et ressentit la froideur de la solitude entre ces colonnes, Fenril voulut faire demi tour et sortir par la grande porte.
Il traversa la pièce en étant toujours aux aguets, pour ne pas se faire sanctionner par une attaque surprise.
La traversé fut stressante mais bizarrement sans encombre. Il poussa la porte qui était dépourvu de poignet mais elle refusa de s’ouvrir. Après plusieurs tentatives, il ne restait plus qu’une seule solution, brûler une lueur de cosmos et le faire exploser sur l’impact de la porte mais cette option pourrait s’avérer assez délicate car l’aura de sa cosmo énergie serait un signal pour tous ceux capables de ressentir la force.
Malheureusement c’était la seule solution, Fenril recula alors de trois pas et ferma les yeux pour se concentrer.
« Et bien ! Te voilà enfin ! »
La voix semblait venir de derrière, plus précisément du trône. Grâce a ses réflexes de guerriers divins, il réussit a se retourner rapidement et a adopter une posture défensive et offensive à la fois.
A la grande stupeur, personne dans la pièce encore une fois. Il était sur de ne pas avoir rêvé et qu’une voix avait belle et bien retentit dans la pièce.
Il ferma une seconde fois les yeux pour ressentir un éventuel cosmos dans la pièce. Il ressentit deux cosmos brillant d’une pureté divine. Ces cosmos ils ne les avaient jamais ressentie avant, ils était aussi pur et profond que ceux des guerriers divins.
Un se trouvait derrière le rideau au fond de la pièce et l’autre derrière le pilier qui se trouvait à sa droite.
Il n’était pas seul depuis le début mais les deux personnes avaient soigneusement masqué leur présence.
Au moment où il réouvrit les yeux, le rideau s’ouvrit et laissa apparaître un homme vêtu d’une grande toge blanche avec des liserés et une écharpes rouges.
Sur sa tête était posé un casque tout en or surmonté d’un aigle.
On ne pouvait absolument pas distinguer le moindre trait de son visage, le casque formait une espèce d’ombre autour de sa face qui rendait l’homme des plus mystérieux.
Le second derrière le pilier semblait avoir relâché un peu ses convictions pour demeurait dans l’ombre.
Fenril avait trahie une longue chevelure blonde ainsi qu’un objet qui devait être un chapelet ou un collier. Malgré ca, le reste était pour l’instant inaccessible mais jusqu’à quand ?
Le jeune loup se décida à avancé en direction de l’homme à la toge tout en gardant à l’œil celui qui été derrière les colonnes.
Au fur et à mesure qu’il lui faisait face, il lui semblait que cet homme n’avait rien de commun avec un homme normal, certes il était capable de brûler un cosmos mais cela allait au delà également d’un simple cosmos.
Le cosmos de l’étranger en planque derrière les colonnes lui non plus ne semblait pas anodin et brûlait d’une intensité digne de l’astre solaire.
Fenril comprit qu’il se trouvait enfermait avec deux grands guerriers, deux grands chevaliers mais sans encore savoir qui ils étaient et au nom de quel dieu ou déesse ils se battaient.
La silhouette de l’homme au casque d’or devenait de plus en plus précise et de plus en plus inquiétante car la carrure et la stature lié à sa position remplissait bien la tâche pour laquelle elle avait été adopté, c'est-à-dire impressionner toute personne la voyant.
« Nous t’avons ramené jusqu’ici afin que toi et tes compagnons de fortune, vous soyez en sécurité !
Je pense que cela ne te pose pas de problème vu la situation dans laquelle tu te trouvais ?
Ces quelques phrases résonnèrent dans toute la pièce et le masque posait sur le visage de l’homme drapé de blanc donnait à sa voix un accent métallique et grave à la fois.
Sa voix n’avait pas été puissante mais bien articulé pour projeté les mots comme des balles qui allaient bien résonnés tout au fond de l’esprit du guerrier divin.
Fenril toujours sur ses gardes répondit au seigneur devant lui :
« Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi vous êtes vous mêlez de ce combat et pourquoi restez vous cachez dans l’ombre ? Si c’est vous aussi le combat qui vous intéresse, sortez, je suis votre homme, vous n’allez pas être déçus je vous l’affirme !
- Nous ne te voulons aucun mal jeune guerrier, nous savons tout de toi ! qui tu es ! Qui tu représente ! Et tout ce qui est présent et représenté en toi !
- Comment avez-vous fait pour me faire échapper des enfers et où sont mes compagnons ?
- Tes compagnons sont en sécurité au sanctuaire, des serviteurs officines s’occupent avec attention de pensées les plaies physiques et morales qu’ils purent subir. Quant à votre arrivée ici c’est vrai que cela n’a pas été simple de tous vous ramener ici mais je ne ferais jamais injure aux chevaliers de notre déesse en disant qu’avec la foi ils peuvent accomplir des miracles.
- La déesse ? de quelle déesse parles-tu ?
A ce moment là, l’homme caché derrière les pilonnes se montra enfin.
Il avait bien comme l’avait deviné une longue chevelure blonde ; il tenait à la main un chapelet composé de perles de deux couleurs différents mais ce qui fût le plus flagrant fut la tenue dans laquelle il para.
Cet homme n’était un simple homme mais bien un saint ! Il portait tout comme les guerriers divins un armure, la différence des armures divines qui elles étaient de la couleur représentatives de l’être mythologique qu’elles représentent, l’armure de ce saint était entièrement faites d’or, d’or pur comme jamais on ne peut en voir dans quelconque marchand de bijoux ou de breloques en tout genre.
Elle brillait d’un éclat éternel, elle semblait être une partie du soleil matérialisé en armure.
Toute cette splendeur et l’intensité d’une telle cosmo énergie ne pouvaient appartenir seulement qu’à l’un des célèbres chevaliers d’or de la déesse Athéna.
« Nous sommes les dignes et fidèles représentant de la déesse Athéna ! affirma le chevalier
- Tu es surement alors un de ces chevaliers d’ors dont j’ai entendu parler. Et toi avec ton casque tu es surement celui au dessus de tout cela et celui que l’on nomme le grand pope.
- Laisse moi me faire l’honneur de me présenter, je suis Shaka, chevalier d’or de la Vierge et accessoirement celui a qui tu dois le salut d’avoir été sauvé du seigneur Hadès.
- Je ne pense pas t’avoir demandé quoi que ce soit ! J’aurai bien put régler la situation seul ! »
Devant l’atmosphère qui commençait à devenir électrique entre les deux êtres divins représentant chacun leur hémisphère, l’homme au casque d’or interféra dans la pseudo dispute.
« Allons messieurs, vous battre ne réglerai rien à nos problèmes, nous somme du même cotés et combattons le même ennemie. Oui Fenril tu as raison je suis le grand pope, représentant de la déesse Athéna et dirigeant de l’ensemble des 88 saints du sanctuaire d’Athéna.
Maintenant tu n’es pas sans savoir que notre rôle est de protéger comme les combattants du royaume d’ Asgard que tu représente aujourd’hui, l’équilibre de la terre.
Nous nous occupons de l’hémisphère Sud et vous de l’hémisphère Nord. Depuis toujours cela a été ainsi mais nous unissons nos forces à chaque fois que cela est nécessaire c'est-à-dire à chaque fois que le seigneur des ténèbres Hadès refait surface.
Comme tu as put le constater, le seigneur Hadès est anormalement déjà revenu à la vie alors que ce la ne devait pas ce passait avant presque deux siècles. Lui et la déesse Athéna réapparaissent tout les deux siècles pour se livrer bataille or la déesse Athéna n’est pas réapparu.
Le combat est loin de tourner en notre faveur comme tu le constate, toutefois nous avons encore peu être l’espoir d’une chance. Les deux camps savent que le seigneur Odin à placer en toi l’ensemble des pouvoirs du royaume d’Asgard et de sa toute puissance. Le but qu’il t’a été annoncé fut que cette opération été destiné à tromper l’ennemi mais il n’en ait rien de tout cela. La puissance enfuie au fond de toi et un stratagème que la déesse Athéna et le seigneur Odin ont élaboré afin de ramener le déesse Athéna plus rapidement sur la Terre.
- Tu veux dire que la déesse Athéna à comploter avec le seigneur Odin et que je suis le cobaye de toute ça ? Mais une chose m’échappe ! La déesse Athéna doit toujours être vivant car la dernière guerre sainte n’a eu lieu il y a seulement quelques années ?
- Effectivement la dernière guerre sainte est récente mais le destin de Saori Kido, l’ancienne représentante terrestre de la déesse Athéna à eu un destin assez funeste. L’homme qu’elle tenait en amour, le chevalier de Pégase, Seiya, à été frappé par l’épée du seigneur Hadès et mourut sur le coup. Ce que tout le monde cru c’est que ce coup d’épée avait seulement affecté le chevalier Seiya, or il affecta toutes les personnes présentes sur le moment.
L’épée renfermé un pouvoir que nul au monde ne connaissait, elle allait détruire les personnes ayant vu la scène et ayant un lien avec le chevalier Seiya. C’est cette amitié si forte qui les unissaient qui fit leurs pertes.
Les autres chevaliers de bronze, hyoga, shiryu, shun et Ikky moururent les un après les autres d’un étrange mal qui les rongea au plus profond d’un pendant des semaines. Aucun d’eux et même la princesse Saori Kido ne put se relever mentalement de la défaite de Seiya et le sort de l’épée qui avait éclaté a ce moment là, s’infiltra petit à petit dans leur conscience jusqu’à ce qu’un jour ils décidèrent tout les 5 de mettre un terme à leurs existence.
Peu de temps après, le chevalier d’or Shaka revint à la vie dans sa maison de la Vierge. Il réussit malgré la mort à atteindre une nouvelle fois le huitième sens et dans un élan de cosmo énergie plus intense que jamais, il réussit à faire atteindre un huitième sens virtuel par sa propre cosmo énergie à l’ensemble des douze chevaliers d’ors.
Tous avez vu et vécu la difficile scène de sacrifices du mur des lamentations mais grâce à la poussière de cosmos de chacun éparpillés il réussit à ramener ses frères d’armes.
- Pourquoi ne pas avoir ramené alors Saori et les cinq chevaliers de bronze ? des cosmo énergie de bronze sont plus faciles à sauver !
- Oui c’est vrai mais je pense que Shaka devrait prendre la parole et t’expliquer lui-même ce qu’il s’est passé ! »
Shaka s’approcha un peu de Fenril et commença à poursuivre le récit :
- Comme te la dit notre grand maitre, les douze chevaliers d’ors sont revenus à la vie mais avant cela nous nous sommes réunis pour vaincre une dernière fois le seigneur Hadès. Son enveloppe charnel était détruite mais pas son épée. Nous nous rendirent une dernière fois en Elysion pour détruire son épée et à notre grande surprise, le seigneur de l’ombre était encore vivant, épée à la main en train de ressusciter ses fidèles armées. Toutes les armures et surplis des spectres, d’Hypnos et Thanatos étaient de nouveau étincelantes et de nouvelles âmes commençaient à les habitaient. Nous avons décidé de ne pas livrer combat mais de former à nouveau l’armée d’Athéna pour livrer encore une fois bataille mais cette fois si ca serait la dernière bataille.
Après être revenue au sanctuaire, nous avons contacté les représentants du Nord pour nous aider dans notre quête, ils nous sont resté fidèles et on accepté de nous porter soutien.
- Pourquoi je suis la ? Pourquoi avez-vous décidé de mettre tout les pouvoirs du seigneur Odin en moi ?
- Ecoute devant le seigneur Hadès, nous avons tous vu la même chose, l’épée d’Hadès est la pièce maitresse de cette guerre. C’est grâce à elle qu’il revient toujours à la vie, que ces spectres sont immortels malgré le rosaire que le précédent chevalier de la Vierge à construit de sa vie.
Le pire est que nous avons besoin de toi car l’esprit de la déesse Athéna est bloquée par cette épée. Hadès à réussi à enfermer l’esprit de la déesse Athéna dans son épée mais il ne peut pas la tuer. Sa mort est pour l’instant impossible car les âmes des cinq chevaliers de bronzes ont aussi été capturées malheureusement par le monarque funeste et ce sont eux qui pour l’instant servent de boucliers et de derniers remparts à la déesse.
Le cosmos réunit des cinq chevaliers de bronze et des douze chevaliers d’ors n’ont pas suffit à briser cette épée. Nous avons besoin du soutien des guerriers divins c’est pour cela que brule en toi la puissance de ton dieu et des sept saphirs d’Odin. Nous croyons en toi pour la détruire, nous t’aiderons dans ta quête. Au moment venus, nous les douze chevaliers d’ors nous uniront à ta puissance et nous détruiront tous ensemble l’épée du mal.
- Je ne pense pas que vous puissiez compter sur moi, j’ai abandonné récemment mon rôle de guerrier divin et je ne me battrais plus pour n’importe quel dieu que ce soit, je suis un homme libre, libre de mes sentiments et c’est pour cela que je parts.
- Tu n’as pas le droit de quitter l’ordre de la chevalerie avec une telle puissance, surtout que tout l’avenir de la terre dépend entièrement de toi.
- Vous n’avez qu’à trouver une autre personne, je ne serai pas des votre. Dites au seigneur Odin que je ne suis pas sa marionnette et qu’il peut reprendre les pouvoir des saphirs d’Odin, je n’en veux pas. Je retourne la ou j’ai toujours eu envie d’aller, chez moi, près de ma femme. »
Fenril tourna le dos aux deux hommes, marcha jusqu’à la porte.
« Je suis désolé de ne pas pouvoir répondre fièrement au attentes et à la confiance que vous aviez tous en moi mais ma décision est prise.
- Attends Fenril, tu ne doit …
- Laisse-le ! dit le grand pope.
- Ses yeux brulent de courage et d’amour. Nous ne pourrons pas lui demander de nous faire confiance pour l’instant. Sa destinée est autre mais son étoile est trop grande et puissante pour que ce soit la dernière fois que nous entendions parler de lui et son nom est destiné à devenir plus grand que cela. »
Le chevalier d’or écouta le sage conseil avisé de son maître et laissa le loup d’Asgard passer la porte et la refermer derrière lui.
Le jeune représentant du mythique canidé se retrouva dans une grande salle emplie de colonnes au style Greco romains sur les cotés et un long tapis rouge sur le quel débouche un trône.
Fenril, seul dans cette pièce avancée de façon logique et prudente en direction du trône qui se trouvait devant lui.
Derrière ce trône, un grand rideau de soie fit comprendre au jeune homme dans quel lieu il se trouvait.
Le rideau était signé de l’emblème de la déesse Nike et du bouclier de la justice.
Le trône était doré à l’or fin et incrusté de pierre plus précieuse les une que les autres et orné du sceptre de la déesse grecque.
Après avoir observé tout les drapées de la pièce et ressentit la froideur de la solitude entre ces colonnes, Fenril voulut faire demi tour et sortir par la grande porte.
Il traversa la pièce en étant toujours aux aguets, pour ne pas se faire sanctionner par une attaque surprise.
La traversé fut stressante mais bizarrement sans encombre. Il poussa la porte qui était dépourvu de poignet mais elle refusa de s’ouvrir. Après plusieurs tentatives, il ne restait plus qu’une seule solution, brûler une lueur de cosmos et le faire exploser sur l’impact de la porte mais cette option pourrait s’avérer assez délicate car l’aura de sa cosmo énergie serait un signal pour tous ceux capables de ressentir la force.
Malheureusement c’était la seule solution, Fenril recula alors de trois pas et ferma les yeux pour se concentrer.
« Et bien ! Te voilà enfin ! »
La voix semblait venir de derrière, plus précisément du trône. Grâce a ses réflexes de guerriers divins, il réussit a se retourner rapidement et a adopter une posture défensive et offensive à la fois.
A la grande stupeur, personne dans la pièce encore une fois. Il était sur de ne pas avoir rêvé et qu’une voix avait belle et bien retentit dans la pièce.
Il ferma une seconde fois les yeux pour ressentir un éventuel cosmos dans la pièce. Il ressentit deux cosmos brillant d’une pureté divine. Ces cosmos ils ne les avaient jamais ressentie avant, ils était aussi pur et profond que ceux des guerriers divins.
Un se trouvait derrière le rideau au fond de la pièce et l’autre derrière le pilier qui se trouvait à sa droite.
Il n’était pas seul depuis le début mais les deux personnes avaient soigneusement masqué leur présence.
Au moment où il réouvrit les yeux, le rideau s’ouvrit et laissa apparaître un homme vêtu d’une grande toge blanche avec des liserés et une écharpes rouges.
Sur sa tête était posé un casque tout en or surmonté d’un aigle.
On ne pouvait absolument pas distinguer le moindre trait de son visage, le casque formait une espèce d’ombre autour de sa face qui rendait l’homme des plus mystérieux.
Le second derrière le pilier semblait avoir relâché un peu ses convictions pour demeurait dans l’ombre.
Fenril avait trahie une longue chevelure blonde ainsi qu’un objet qui devait être un chapelet ou un collier. Malgré ca, le reste était pour l’instant inaccessible mais jusqu’à quand ?
Le jeune loup se décida à avancé en direction de l’homme à la toge tout en gardant à l’œil celui qui été derrière les colonnes.
Au fur et à mesure qu’il lui faisait face, il lui semblait que cet homme n’avait rien de commun avec un homme normal, certes il était capable de brûler un cosmos mais cela allait au delà également d’un simple cosmos.
Le cosmos de l’étranger en planque derrière les colonnes lui non plus ne semblait pas anodin et brûlait d’une intensité digne de l’astre solaire.
Fenril comprit qu’il se trouvait enfermait avec deux grands guerriers, deux grands chevaliers mais sans encore savoir qui ils étaient et au nom de quel dieu ou déesse ils se battaient.
La silhouette de l’homme au casque d’or devenait de plus en plus précise et de plus en plus inquiétante car la carrure et la stature lié à sa position remplissait bien la tâche pour laquelle elle avait été adopté, c'est-à-dire impressionner toute personne la voyant.
« Nous t’avons ramené jusqu’ici afin que toi et tes compagnons de fortune, vous soyez en sécurité !
Je pense que cela ne te pose pas de problème vu la situation dans laquelle tu te trouvais ?
Ces quelques phrases résonnèrent dans toute la pièce et le masque posait sur le visage de l’homme drapé de blanc donnait à sa voix un accent métallique et grave à la fois.
Sa voix n’avait pas été puissante mais bien articulé pour projeté les mots comme des balles qui allaient bien résonnés tout au fond de l’esprit du guerrier divin.
Fenril toujours sur ses gardes répondit au seigneur devant lui :
« Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi vous êtes vous mêlez de ce combat et pourquoi restez vous cachez dans l’ombre ? Si c’est vous aussi le combat qui vous intéresse, sortez, je suis votre homme, vous n’allez pas être déçus je vous l’affirme !
- Nous ne te voulons aucun mal jeune guerrier, nous savons tout de toi ! qui tu es ! Qui tu représente ! Et tout ce qui est présent et représenté en toi !
- Comment avez-vous fait pour me faire échapper des enfers et où sont mes compagnons ?
- Tes compagnons sont en sécurité au sanctuaire, des serviteurs officines s’occupent avec attention de pensées les plaies physiques et morales qu’ils purent subir. Quant à votre arrivée ici c’est vrai que cela n’a pas été simple de tous vous ramener ici mais je ne ferais jamais injure aux chevaliers de notre déesse en disant qu’avec la foi ils peuvent accomplir des miracles.
- La déesse ? de quelle déesse parles-tu ?
A ce moment là, l’homme caché derrière les pilonnes se montra enfin.
Il avait bien comme l’avait deviné une longue chevelure blonde ; il tenait à la main un chapelet composé de perles de deux couleurs différents mais ce qui fût le plus flagrant fut la tenue dans laquelle il para.
Cet homme n’était un simple homme mais bien un saint ! Il portait tout comme les guerriers divins un armure, la différence des armures divines qui elles étaient de la couleur représentatives de l’être mythologique qu’elles représentent, l’armure de ce saint était entièrement faites d’or, d’or pur comme jamais on ne peut en voir dans quelconque marchand de bijoux ou de breloques en tout genre.
Elle brillait d’un éclat éternel, elle semblait être une partie du soleil matérialisé en armure.
Toute cette splendeur et l’intensité d’une telle cosmo énergie ne pouvaient appartenir seulement qu’à l’un des célèbres chevaliers d’or de la déesse Athéna.
« Nous sommes les dignes et fidèles représentant de la déesse Athéna ! affirma le chevalier
- Tu es surement alors un de ces chevaliers d’ors dont j’ai entendu parler. Et toi avec ton casque tu es surement celui au dessus de tout cela et celui que l’on nomme le grand pope.
- Laisse moi me faire l’honneur de me présenter, je suis Shaka, chevalier d’or de la Vierge et accessoirement celui a qui tu dois le salut d’avoir été sauvé du seigneur Hadès.
- Je ne pense pas t’avoir demandé quoi que ce soit ! J’aurai bien put régler la situation seul ! »
Devant l’atmosphère qui commençait à devenir électrique entre les deux êtres divins représentant chacun leur hémisphère, l’homme au casque d’or interféra dans la pseudo dispute.
« Allons messieurs, vous battre ne réglerai rien à nos problèmes, nous somme du même cotés et combattons le même ennemie. Oui Fenril tu as raison je suis le grand pope, représentant de la déesse Athéna et dirigeant de l’ensemble des 88 saints du sanctuaire d’Athéna.
Maintenant tu n’es pas sans savoir que notre rôle est de protéger comme les combattants du royaume d’ Asgard que tu représente aujourd’hui, l’équilibre de la terre.
Nous nous occupons de l’hémisphère Sud et vous de l’hémisphère Nord. Depuis toujours cela a été ainsi mais nous unissons nos forces à chaque fois que cela est nécessaire c'est-à-dire à chaque fois que le seigneur des ténèbres Hadès refait surface.
Comme tu as put le constater, le seigneur Hadès est anormalement déjà revenu à la vie alors que ce la ne devait pas ce passait avant presque deux siècles. Lui et la déesse Athéna réapparaissent tout les deux siècles pour se livrer bataille or la déesse Athéna n’est pas réapparu.
Le combat est loin de tourner en notre faveur comme tu le constate, toutefois nous avons encore peu être l’espoir d’une chance. Les deux camps savent que le seigneur Odin à placer en toi l’ensemble des pouvoirs du royaume d’Asgard et de sa toute puissance. Le but qu’il t’a été annoncé fut que cette opération été destiné à tromper l’ennemi mais il n’en ait rien de tout cela. La puissance enfuie au fond de toi et un stratagème que la déesse Athéna et le seigneur Odin ont élaboré afin de ramener le déesse Athéna plus rapidement sur la Terre.
- Tu veux dire que la déesse Athéna à comploter avec le seigneur Odin et que je suis le cobaye de toute ça ? Mais une chose m’échappe ! La déesse Athéna doit toujours être vivant car la dernière guerre sainte n’a eu lieu il y a seulement quelques années ?
- Effectivement la dernière guerre sainte est récente mais le destin de Saori Kido, l’ancienne représentante terrestre de la déesse Athéna à eu un destin assez funeste. L’homme qu’elle tenait en amour, le chevalier de Pégase, Seiya, à été frappé par l’épée du seigneur Hadès et mourut sur le coup. Ce que tout le monde cru c’est que ce coup d’épée avait seulement affecté le chevalier Seiya, or il affecta toutes les personnes présentes sur le moment.
L’épée renfermé un pouvoir que nul au monde ne connaissait, elle allait détruire les personnes ayant vu la scène et ayant un lien avec le chevalier Seiya. C’est cette amitié si forte qui les unissaient qui fit leurs pertes.
Les autres chevaliers de bronze, hyoga, shiryu, shun et Ikky moururent les un après les autres d’un étrange mal qui les rongea au plus profond d’un pendant des semaines. Aucun d’eux et même la princesse Saori Kido ne put se relever mentalement de la défaite de Seiya et le sort de l’épée qui avait éclaté a ce moment là, s’infiltra petit à petit dans leur conscience jusqu’à ce qu’un jour ils décidèrent tout les 5 de mettre un terme à leurs existence.
Peu de temps après, le chevalier d’or Shaka revint à la vie dans sa maison de la Vierge. Il réussit malgré la mort à atteindre une nouvelle fois le huitième sens et dans un élan de cosmo énergie plus intense que jamais, il réussit à faire atteindre un huitième sens virtuel par sa propre cosmo énergie à l’ensemble des douze chevaliers d’ors.
Tous avez vu et vécu la difficile scène de sacrifices du mur des lamentations mais grâce à la poussière de cosmos de chacun éparpillés il réussit à ramener ses frères d’armes.
- Pourquoi ne pas avoir ramené alors Saori et les cinq chevaliers de bronze ? des cosmo énergie de bronze sont plus faciles à sauver !
- Oui c’est vrai mais je pense que Shaka devrait prendre la parole et t’expliquer lui-même ce qu’il s’est passé ! »
Shaka s’approcha un peu de Fenril et commença à poursuivre le récit :
- Comme te la dit notre grand maitre, les douze chevaliers d’ors sont revenus à la vie mais avant cela nous nous sommes réunis pour vaincre une dernière fois le seigneur Hadès. Son enveloppe charnel était détruite mais pas son épée. Nous nous rendirent une dernière fois en Elysion pour détruire son épée et à notre grande surprise, le seigneur de l’ombre était encore vivant, épée à la main en train de ressusciter ses fidèles armées. Toutes les armures et surplis des spectres, d’Hypnos et Thanatos étaient de nouveau étincelantes et de nouvelles âmes commençaient à les habitaient. Nous avons décidé de ne pas livrer combat mais de former à nouveau l’armée d’Athéna pour livrer encore une fois bataille mais cette fois si ca serait la dernière bataille.
Après être revenue au sanctuaire, nous avons contacté les représentants du Nord pour nous aider dans notre quête, ils nous sont resté fidèles et on accepté de nous porter soutien.
- Pourquoi je suis la ? Pourquoi avez-vous décidé de mettre tout les pouvoirs du seigneur Odin en moi ?
- Ecoute devant le seigneur Hadès, nous avons tous vu la même chose, l’épée d’Hadès est la pièce maitresse de cette guerre. C’est grâce à elle qu’il revient toujours à la vie, que ces spectres sont immortels malgré le rosaire que le précédent chevalier de la Vierge à construit de sa vie.
Le pire est que nous avons besoin de toi car l’esprit de la déesse Athéna est bloquée par cette épée. Hadès à réussi à enfermer l’esprit de la déesse Athéna dans son épée mais il ne peut pas la tuer. Sa mort est pour l’instant impossible car les âmes des cinq chevaliers de bronzes ont aussi été capturées malheureusement par le monarque funeste et ce sont eux qui pour l’instant servent de boucliers et de derniers remparts à la déesse.
Le cosmos réunit des cinq chevaliers de bronze et des douze chevaliers d’ors n’ont pas suffit à briser cette épée. Nous avons besoin du soutien des guerriers divins c’est pour cela que brule en toi la puissance de ton dieu et des sept saphirs d’Odin. Nous croyons en toi pour la détruire, nous t’aiderons dans ta quête. Au moment venus, nous les douze chevaliers d’ors nous uniront à ta puissance et nous détruiront tous ensemble l’épée du mal.
- Je ne pense pas que vous puissiez compter sur moi, j’ai abandonné récemment mon rôle de guerrier divin et je ne me battrais plus pour n’importe quel dieu que ce soit, je suis un homme libre, libre de mes sentiments et c’est pour cela que je parts.
- Tu n’as pas le droit de quitter l’ordre de la chevalerie avec une telle puissance, surtout que tout l’avenir de la terre dépend entièrement de toi.
- Vous n’avez qu’à trouver une autre personne, je ne serai pas des votre. Dites au seigneur Odin que je ne suis pas sa marionnette et qu’il peut reprendre les pouvoir des saphirs d’Odin, je n’en veux pas. Je retourne la ou j’ai toujours eu envie d’aller, chez moi, près de ma femme. »
Fenril tourna le dos aux deux hommes, marcha jusqu’à la porte.
« Je suis désolé de ne pas pouvoir répondre fièrement au attentes et à la confiance que vous aviez tous en moi mais ma décision est prise.
- Attends Fenril, tu ne doit …
- Laisse-le ! dit le grand pope.
- Ses yeux brulent de courage et d’amour. Nous ne pourrons pas lui demander de nous faire confiance pour l’instant. Sa destinée est autre mais son étoile est trop grande et puissante pour que ce soit la dernière fois que nous entendions parler de lui et son nom est destiné à devenir plus grand que cela. »
Le chevalier d’or écouta le sage conseil avisé de son maître et laissa le loup d’Asgard passer la porte et la refermer derrière lui.
Libellés :
Saint Seiya - Fanfics
lundi 15 février 2010
The Legend of Zelda : A Link to the Past - Présentation
- Titre original : Zelda no Densetsu : Kamigami no Triforce
- Editeur/développeur : Nintendo
- Producteur/réalisateur : Shigeru Miyamoto/Takashi Tezuka
- Genre : Action/aventure
- Nombre de joueurs : 1
- Plate-forme initiale : SNES
- Plates-formes de réédition : GBA et Console virtuelle
- Prix à la sortie : - SNES : 70€ environ
- GBA : 40€ environ
- Console virtuelle : 8€ environ
- Exemplaires vendus : 4,6 millions environ (SNES)
- Date de sortie : SNES : - Japon ==> 21/11/1991
- Amérique du Nord ==> 13/04/1992
- Europe ==> 24/09/1992
GBA : - Amérique du Nord ==> 02/12/2002
- Japon ==> 14/03/2003
- Europe ==> 28/03/2003
Console Virtuelle : - Japon ==> 02/12/2006
- Amérique du Nord ==> 22/01/2007
- Europe ==> 23/03/2007
Recto de la boîte du jeu (recto)
Recto de la boîte du jeu (GBA)
Présentation :
- Nombre de joueurs : 1
- Plate-forme initiale : SNES
- Plates-formes de réédition : GBA et Console virtuelle
- Prix à la sortie : - SNES : 70€ environ
- GBA : 40€ environ
- Console virtuelle : 8€ environ
- Exemplaires vendus : 4,6 millions environ (SNES)
- Date de sortie : SNES : - Japon ==> 21/11/1991
- Amérique du Nord ==> 13/04/1992
- Europe ==> 24/09/1992
GBA : - Amérique du Nord ==> 02/12/2002
- Japon ==> 14/03/2003
- Europe ==> 28/03/2003
Console Virtuelle : - Japon ==> 02/12/2006
- Amérique du Nord ==> 22/01/2007
- Europe ==> 23/03/2007
Recto de la boîte du jeu (recto)
Recto de la boîte du jeu (GBA)
Verso de la boîte du jeu (GBA)
Présentation :
Libellés :
The Legend of Zelda
jeudi 11 février 2010
The Legend of Zelda - Présentation
Fiche technique
- Titre original : The Hyrule Fantasy : Zelda no Densetsu
- Editeur/développeur : Nintendo
- Producteur/réalisateur : Shigeru Miyamoto/Takashi Tezuka
- Genre : Action/aventure
- Nombre de joueurs : 1
- Plate-forme initiale : NES
- Plates-formes de réédition : GBA, GameCube et Console virtuelle
- Prix à la sortie : - NES : 40€ environ
- GBA : 20€ environ
- Console virtuelle : 5€ environ
- Exemplaires vendus : 6,5 millions environ (NES)
- Date de sortie : NES : - Japon ==> 21/02/1986
- Amérique du Nord ==> 22/08/1987
- Europe ==> 27/11/1987
GameCube (Collector's Edition) : - Japon ==> 07/11/2003
- Europe ==> 14/11/2003
- Etats-Unis ==> 17/11/2003
GBA : - Japon ==> 14/02/2004
- Amérique du Nord ==> 07/06/2004
- Europe ==> 09/07/2004
Console Virtuelle : - Amérique du Nord ==> 19/11/2006
- Japon ==> 02/12/2006
- Europe ==> 08/12/2006
Recto de la boîte du jeu (NES)
Recto de la boîte du jeu (GBA)
Présentation
Premier épisode d'une saga devenu mythique, ce The Legend of Zelda marquera un nouveau tournant dans le monde du jeu vidéo. Vous contrôlez Link, un jeune héros qui doit sauvé une princesse nommée Zelda d'un ignoble monstre (plus par son physique de cochon que par sa méchanceté) qui porte le nom de Ganon dont le but est de répandre les ténèbres sur le mon d'Hyrule. Le scénario minimaliste, inspiré du film Legend avec Tom Cruise, n'est lui pas très recherché mais l'intérêt est ailleurs... En effet, ce qui a marqué les joueurs de la fin des années 1980 c'est la liberté que ce jeu propose car la plupart des jeux de l'époque proposait simplement de se rendre d'un point A à un point B. Dans Zelda, vous êtes lâchés au beau milieu d'un monde inconnu avec plusieurs chemins possible pour avancer, le joueur n'est pas guidé, il doit se débrouiller seul pour progresser dans l'aventure, s'approprier un monde qu'il ne connaît pas et obtenir différents objets qui lui permettront d'accéder à certaines zones ou donjons. La quête de Link étant très longue pour l'époque, Nintendo a inclut une pile de sauvegarde dans la cartouche (chose que d'autres jeux n'avaient pas donc ils devaient se finir d'une traite). Ce premier épisode marqua son empreinte dans l'histoire grâce à son gameplay novateur comme l'avais fait Super Mario Bros. créé aussi par Shigeru Miyamoto.
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