vendredi 26 février 2010

[Fanfic Saint Seiya] La Trahison du Loup d'Asgard - Chapire 17

Fanfic écrite par Fenril.

Fenril passa la large porte et se retrouva face à l’ensemble des douze maisons du zodiaque du sanctuaire d’Athéna.
Bien qu’il ne soit jamais venu en ces lieux, il connaissait les légendes et les exploits qui s’y étaient accomplis et l’idée de devoir traverser ces douze demeures dans le sens de la descente ne le réjouissait guère.
Mais après tout que risquait-il ? Au pire il allait rencontrer les représentants de chaque maison mais ils ne lui bloqueront en aucun cas le passage car le grand pope lui-même l’avait laissé partir.
C’est avec cette idée un peu plus confiante qu’il commença à descendre de bon cœur le long édifice de l’antiquité grecque.
La pas posé sur la première marche lui paru le plus difficile, une fois lancé le courage fera le reste.
Pendant son chemin, il pensa à ses compagnons pirates et surtout il se demandait bien où il pouvait être.
Le grand pope avait affirmé qu’il été sain et sauf et que l’on s’occupé d’eux mais cela n’allait jamais faire revenir à la vie ceux mort pendant les combats.
Il savait que c’est le destin d’un guerrier et que celui-ci doit être préparé à mourir à n’importe quel moment aux combats mais il ne put pas s’empêcher de penser aux familles qui avaient perdus un membre.
Fenril voulait faire un geste de remerciement envers ses compagnons de fortune et voulait qu’il puisse rentrer sans encombre et sans être mêler une nouvelle fois à une guerre qui n’était pas la leurs.
En attendant de trouer une solution, il lui fallait continuer de descendre les marches et peu être allait il trouver de quoi l’aider dans sa quête.

La traversée s’effectue sans grand péril, jusqu’à la maison des Poissons. Fenril sentit un cosmos à l’intérieur et pensait fortement qu’il devait être celui du chevalier d’or gardant celle-ci.
Il pénétra alors et découvrit un parcours de roses rouges et blanches devant lui.
Sur le sol était écrit en pétales de roses un message à destination du jeune loup.

« Suis ce chemin, il te guidera jusqu'à la sortie »

Ne connaissant pas trop les intentions des chevaliers d’ors envers lui et étant dans des lieux qui lui étaient inconnus, Fenril suivit les recommandations florales et traversa la maison en empruntant scrupuleusement le chemin balisé.
Il se retrouva alors de l’autre côté de la maison des Poissons en confrontation directe avec ce qui devait être son chevalier d’or.
Le chevalier était fidèle à sa réputation, l’homme le plus beau du monde tenant une rose rouge vénéneuse à la bouche.

« Nous avons été tenu au courant de ton arrivée au sanctuaire et nous savons quel sont tes intentions dans cette future guerre sainte ! Je respecte ton point de vue.
Nous, chevaliers d’or, nous sommes passés par des moments difficiles récemment, nous connaissons la terrible souffrance des combats.
Tu n’échapperas pas à celle-ci que tu le veuilles ou non, tu es destiné par les dieux, tu as été choisi, tu es l’élu.
Prend cette rose rouge, elle est éternelle et non vénéneuse, donne la à la personne de ton cœur comme un cadeau d’adieu. »

Le chevalier d’or donna la rose à Fenril, recouvrit son armure du soleil par sa cape blanche de pureté et retourna assurer la protection de la maison dont il avait la charge. Le bruit de l’armure des Poissons remuant sous le pas de son guerrier laissa petit à petit place au silence seulement troubler par le bruit du vent.

Fenril continua son périple au sein du sanctuaire, lui qui se croyait simplement appeler au royaume d’Asgard pour un simple rassemblement se retrouve désormais au cœur d’une guerre dont il est la pièce maitresse et que tout le monde souhaite l’avoir à ses côtés. Son seul but à lui est de vivre tranquille auprès de celle qu’il aime, jamais il n’aurait pensé qu’il devrait se battre jusqu’à la mort pour protéger une femme en laquelle il n’a aucun sentiment mais ne serait ce qu’amicale.
La traversée de la maison du Verseau ce fut le plus simplement, sans aucune hostilité.
Camus, le chevalier d’or de la constellation du Verseau fit simplement un signe de la tête à Fenril pour le saluer et d’un geste de la main de laquelle sortit une fine neige de Sibérie, lui indiquant le chemin à suivre.

Shura, le chevalier d’or du Capricorne eu la même réaction que son collègue du Verseau et fendit l’air de sa fidèle Excalibur au passage de Fenril pour lui indiquer la voie.

La maison du Sagittaire, elle était vide, son gardien semblait ne pas être présent sur les lieux.
Durant sa traversée, Fenril remarqua le testament d’Aioros qui avait été gravé sur un mur pour les chevaliers de bronze durant leur conquête du sanctuaire.
Il réalisa alors qu’il était en train de parcourir un chemin où beaucoup de sang et de bataille résonnaient entre les murs de chaque maison.
Des lieux chargés d’histoire.

Il retrouva dans la prochaine maison, celle du Scorpion, les chevaliers d’or du Sagittaire, de la Balance et son hôte en train de s’entrainer au combat.
Ils n’eurent même pas un regard envers Fenril qui les regarda portant pendant plusieurs minutes.
Il comprit que chacun se préparer à sa manière pour ce qu’il allait arrivé et qu’il essayé de ne pas changer leur habitude quotidienne pour ne pas éveiller de soupçons ou de crainte au sain du sanctuaire.

La descente se poursuivit donc jusqu’à la maison de la Vierge, son protecteur lui devait être encore dans la salle du grand pope pour discuter à propos des faits et gestes de Fenril.
Le guerrier divin s’engagea une nouvelle fois dans la traversée d’une demeure, la maison de la vierge n’avait rien de différent des autres.
Elles étaient toutes faites de la même manière, des longues et hautes colonnes grecques jusqu’au plafond et des voiles et tapisseries représentant la déesse Athéna et la constellation dont ils avaient chacun la charge.
La maison traversée, Fenril commença à se demander combien de temps encore il allait mettre pour traverser ses maisons.
Il n’avait pas de temps à perdre et semblait impatient de rentrer chez lui.
Il senti alors une main se poser sur son épaule et une voix lui dire :

« Je vais arranger ça jeune guerrier, tu ne seras pas en retard chez toi. »
Cette voix ne lui était pas inconnue, il l’avait déjà entendu récemment.
En se retournant, il eu à sa grande surprise le chevalier d’or de la Vierge devant lui.

« Comment as-tu fais pour dissimuler ton cosmos ? Je ne t’ai pas sentit dans la maison et encore moins arriver derrière moi !
Comment as tu réussis à lire dans mes pensées ? »

Aucune réponse ne sortit de la bouche du représentant divin de la Vierge et il posa sa deuxième main sur l’autre épaule de Fenril.
Les deux hommes se retrouvèrent alors éblouie un flash de lumière qui dura même pas un quart de seconde.
Un ouvrant les yeux, Fenril s’aperçu qu’il été arrivé tout en bas du sanctuaire et que derrière lui se trouvait la maison du Bélier avec Mu, son gardien, posté fièrement à l’entrée.

Fenril voulu se retourner pour demander à Shaka comment il lui était possible de faire une chose pareil mais il avait de nouveau disparu.
Il était repartit aussi vite qu’il été arrivé sans aucun bruit, sans aucune secousse.
Fenril entendit alors une voie au fond de son esprit lui dire :

« Ne sous estime pas la force des chevaliers d’or d’Athéna »

Ce message était comme un avertissement que le chevalier donné au jeune loup pour le mettre en garde de la puissance des combats qui allaient bientôt résonné dans tout le sanctuaire.

Fenril marcha sur en direction des villages situés en bas des collines du sanctuaire afin de receuillir des informations sur ces anciens compagnons marins.
Il interpella une femme qui passait avec ses deux enfants recouverts de boue.

« Excusez moi madame, n’avez-vous pas entendu où pourrai être des pirates, des hommes venus du Nord et blessés pour certains ?
- Croyais vous que je n’ai que ca à faire de ma mêler des affaires des autres comme ça moi ?
J’ai déjà bien à faire avec ma vie de famille à gérer et ses deux monstres qui ne pensent qua se battre et à devenir des chevaliers d’Athéna »

Bien qu’il fût surpris devant une telle réaction, Fenril ne put s’empêcher d’avoir un petit sourire devant une telle scène.

Ici la vie n’était pas comparable, elle n’avait pas son pareil ailleurs.
Les gens étaient en adoration devant les chevaliers qui s’entraient, ils leur vouaient un culte sans fin, ils portaient en eux tout les espoirs de la terre.
Tous s’affairaient à ce que les représentants des dieux ne manquent de rien sans perturber leurs méditations et leurs exercices.
Les femmes avaient apportés de la nourriture, de l’eau ainsi que des serviettes pour pouvoir se laver, les hommes construisaient des outils, des parcours d’exercices ainsi que toutes sortes d’éléments en bois qui allaient pouvoir être utilisé par ces hommes puissants.
Il arrivait qu’un homme passe des jours et des nuits complètes à concevoir un outil qui allait être inutilisé par les chevaliers ou même cassé en moins de deux minutes car trop fragile devant la puissance du cosmos mais rien ne pouvait les attristé ou les rend malheureux, ils avaient foie en eux.

Fenril reconnu alors un des membres de l’équipage du bateau sur lequel il avait navigué qui été en train de se délecté du spectacle.

« Eh bien ! Que fais tu ici toi ?
- Oh mon capitaine c’est vous ! Nous vous avons cherché toute la journée ! Je suis heureux de vous revoir ! Dite moi ! Vous savez où on est la ? Je ne me sens pas très bien parmi tout ces gens la moi ! On dirait que l’on ne fait pas partit du même monde !
- Je te confirme que l’on fait partit du même monde mais on en a une autre vision qu’eux ! Allez conduits moi jusqu’à mes hommes ! »

L’homme s’exécuta et emmena sur le champ Fenril dans la maison médicale du village.
Fenril passa le seuil de la porte et ce fut un énorme élan de joie de tous les pirates qui émana.
Tous étaient heureux de retrouver leur capitaine et surtout voyait en lui un espoir de retourner chez eux.

Fenril alla directement auprès du doyen des pirates et lui demanda :
« Avez-vous correctement été pris en charge par les gens d’ici ? Tout le monde a-t-il été soigné ?
- Oh que oui mon capitaine, nous avons même essayé de soigner quelque une de leurs femmes en remerciement mais elles ont des comportements plus farouche que celles de part chez nous ca c’est sur ! »

Les deux hommes éclatèrent ensemble de rire et le vieillard ne put s’empêcher de mettre une claque sur les fesses d’une infirmière qui passait par là.
La réaction de celle-ci fut immédiate et envoya une lourde claque au vieux qui en perdit une dent.
Ce sont alors l’ensemble de tous les membres de l’équipage témoins de la scène qui éclatèrent de rire et se moquèrent de leur doyen qui avait apparemment bien des difficultés à se familiariser avec les coutumes grecques.

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